Paris Dupuis, Collection R 1999 In-4, cartonnage illustré de l'éditeur.Edition originale de cet album qui constitue le 10ème des titres de la série des Largo Winch. Etat de conservation: neuf pour l'intérieur et le cartonnage.
Reference : 41202
Librairie Blaizot & Pinault
M. Paul Blaizot
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Editions Dangles 1994 20x24. 1994. Broché. 329 pages. Bon Etat intérieur propre
France Loisirs 1982 in8. 1982. Cartonné jaquette. 330 pages. dans le conflit mondial qui ravage le continent européen de 1939 à 1945 la hongrie est restée longtemps hors des atteintes de la guerre. et puis à son tour elle est en feu. les allemands qui y sont entrés en maîtres se sont retranchés dans budapest et entendent défendre la ville qu'assiègent les russes. c'est ce siège de deux mois vécu dans la cave de leur immeuble pris au bord du danube sous les feux croisés des belligérants que raconte christine arnothy. ils sont là une douzaine à attendre l'avance russe avec l'espoir qu'elle marquera la fin de l'oppression et de l'horreur. mais bientôt les parents de christine décident de quitter le pays. ils aboutissent dans un camp de réfugiés en autriche d'où christine veut s'arracher à tout prix. cette existence recommencée est le thème de il n'est pas si facile de vivre qui fait suite à j'ai quinze ans et je ne veux pas mourir. et sa sobriété même rend le témoignage d'autant plus poignant sur ce qui fut le sort de tant de gens de trop de gens pendant et après la seconde guerre mondiale Très Bon Etat
P., NRF, 1924 ; petit in-8 (18,5 x 13,5 cm), broché. Frontispice-60 pp.-1f. Couverture verte partiellement décolorée sinon bel exemplaire.
Edition originale tirée à 535 exemplaires sur vergé de Navarre, un des 500 après 30 hors-commerce, avec un portrait d'Eluard en Frontispice par Max Ernst. Paul Eluard avait épousé Gala pendant la Première guerre mondiale, au lendemain de laquelle il se lie d'amitiés avec Max Ernst qui illustre plusieurs recueils du poète. De 1921 à 1924 le couple Eluard fait ménage à trois avec Max Ernst, mais Eluard le vit très mal et livre dans "Mourir de ne pas mourir" le témoignage poignant du supplice que furent ces années.
Reference : LCS-16804
L’Art de bien vivre et de bien mourir, catalogué il y a 42 ans par Georges Heilbrun. De la bibliothèque Edmée Maus. Paris, vers 1530. Lyon, Jaques Moderne dit Grad Jaques, s.d. [vers 1530]. In-8 de (36) ff. (A-I4) dont 1 titre gravé dans une bordure, gothique à longues lignes, 12 gravures sur bois à pleine page, ptes. déchirures à 3 ff. sans manque, pte. restauration dans la partie supérieure du f. B3. Maroquin brun janséniste, dos lisse avec le titre doré en long, filet doré sur les coupes, triple filet doré intérieur, tranches dorées. Gruel. 162 x 113 mm.
Rare édition de l’Ars Moriendi « Art de bien vivre et de bien mourir » illustré de xylographies, petit livre de piété dont on ignore l’auteur et la date de composition, et dont il y eut plusieurs traductions. Dutuit, Livres xylographiques, I, p.62 ; Graesse, Trésor de Livres rares, 47 ; Brunet, I, 512 ; Baudrier, XI, 516-517 et 512 ; Pogue, Jacques Moderne, n°67. Guillaume Tardif, lecteur de Charles VIII, fut, selon Émile Mâle, l’auteur de cette libre traduction du texte des anciennes éditions xylographiques, dans laquelle le latin concis et obscur est « traduit, expliqué, développé par un véritable écrivain qui parle une langue grave et un français déjà classique ». Les premiers exemplaires de « l’Ars Moriendi » illustré apparaissent vers la moitié du XVe siècle avec des xylographies d’une efficacité tellement dramatique qu’elles ont contribué, à elles seules, beaucoup plus que le texte, à la diffusion très importante du petit livre : chaque image est placée en regard du texte, et illustre tour à tour la tentation du diable et la bonne inspiration de l’ange agonisant. Au fil des décennies (une des dernières éditions est de 1538), l’Ars devient un genre littéraire, et cependant il tend à se cristalliser, tandis que les illustrations deviennent de plus en plus grossières et se simplifient au maximum ; toutefois quelques thèmes du drame qui se déroule dans l’âme du fidèle au moment du trépas, représentés par l’ars moriendi, sont accueillis dans les traités contemporains sur les « novissima », lesquels, outre les thèmes, qui sont propres à l’Ars, en contiennent d’autres (Ubi sunt, de la description de l’agonie, etc.). L’esprit et la substance des artes moriendi passèrent aussi dans bien d’autres livres de piété, et il survécut quelque chose d’eux dans les innombrables exhortations aux malades et aux moribonds qui furent publiées, surtout en France, au cours du XVIIe et XVIIIe siècles. Cette curieuse édition contient en plus de « l’Ars moriendi » « les Dix et les Cinq commandements » et « les Fantaisies du monde », de Guillaume Alexis. L’iconographie saisissante comprend 12 grands bois à pleine page, reprenant les bois primitifs du maître de « l’Ars moriendi » de Jean Siber, reproduits par Claudin III, 210 à 212 et 445, 446 et Baudrier, XI, 512. Deux petits bois représentent Moïse sur le feuillet de titre et la Crucifixion. Précieux volume provenant de la bibliothèque Edmée Maus, avec ex libris. Il fut catalogué il y a 42 ans au prix considérable de 42 500 F (7 000 €) (cat. 39, 1973, n°9) par Georges Heilbrun.