09/08/1920 Magne remercie son ami pour son aimable critique de son ouvrage Lettres inédites du grand Condé et du duc d'Enghien à Marie-Louise de Gonzague, reine de Pologne, sur la cour de Louis XIV. Il avoue ...J'ai tenté de vous voir à Cœmedia avant mon départ de Paris, mais vous êtes presqu'invisible pour moi, car vous venez, m'a-t-on dit, fort tard à ce journal et j'habite si loin. A mon retour je vous prierai de venir bavarder en ma compagnie en prenant un apéritif. Si nous ne faisons pas effort pour nous rencontrer, si nous nous remettons, pour ce soin, au hasard, nous éloignons trop les occasions de donner un aliment à notre très ancienne sympathie... Il a appris l'élection de son ami à la Société des Poètes français et lui demande quand paraîtra son prochain recueil de vers. Il conclut ...J'espère que votre famille est en bonne santé et que la guerre ne vous a pas laissé, comme à moi, des fatigues trop grandes. Donnez-moi de vos nouvelles quand vous aurez des loisirs...
Reference : 2963
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