Librairie De Dumont 13 x 20 Paris 1834 In-8, reliure de percaline marron de l'époque, dos lisse orné de filets dorés, auteur et titre dorés, page de titre, 305 p. Edition originale de cet essai biographique peu fréquent de Laure Junot (1784-1838), duchesse d'Abrantès par son mariage avec le général Junot (1771-1813). Solide reliure, marques de frottements sur les plats et les coupes, large mouillure sur une bonne partie de l'ouvrage, notice de libraire sur la première garde, tampon du cabinet de lecture Lardin, rue Bourgeoise à Angers, petit ex-libris moderne sur le contre plat. Rare.(B50)
Reference : 6554
Histoire et Société
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broché - 15,5x24 - 349 pp - 1986 - éditions FRANCE- EMPIRE, Paris. Illustrations dans le texte.
Lausanne, François Grasset & comp., 1769. In-8 de (2)-XIV pp. 1 f.bl. 204 pp. (mal chiffré 160), 2 feuillets manuscrits reliés respectivement entres les pages 44-45 et 48-49, maroquin citron, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin noir, filet et frise dorés d'encadrement sur les plats, tranches dorées (reliure de la fin du XVIIIe siècle).
Précieux exemplaire annoté de l'Instruction de Catherine II. Faux-titre en latin ; buste légendé de Catherine II en frontispice gravé par Boily. Examen critique d'une main anonyme des deux premières questions du Nakaz jusqu'à l'article 172 : le scripteur traque les emprunts à l'Esprit des Lois de Montesquieu et au Traité des délits et des peines de Beccaria. De nombreux articles sont soulignés et commentés en regard : dès l'article 21, il reconnaît l'apparat critique de l'édition de l'Esprit « Amsterdam 1764 » (ces notes d'un anonyme seront plus tard attribuées à Luzac), un peu plus loin, l'édition 1766 du Traité de Beccaria traduit par Morellet : Nous allons quitter Montesquieu pour quelques instants et passer au traité des délits et des peines du marquis Beccaria. S.M.I. a daigné s'approprier aussi les idées de cet auteur et pour s'épargner aussi l'ennui de traduire elle a daigné s'approprier aussi la traduction de l'abbé Morellet imprimée à Lausanne en 1766. c'est avec ce petit secours qu'elle a créé sa théorie de jurisprudence criminelle comme il s'ensuit. Ses considérations sont aussi formelles : c'est une hardiesse heureuse du génie impérial qui crée la présente instruction et qui veut bien enrichir notre langue de tours ingénieux et nouveaux dont sans doute nous nous empresserons de profiter.Le Nakaz de Catherine II fut dès sa publication commenté par ses illustres contemporains comme le physiocrate Le Trosne et surtout Diderot. Mais Quérard rendit dans ses Supercheries le mérite à Beuchot d'avoir identifié le premier les emprunts de Catherine II à Montesquieu et Beccaria pour la rédaction de son code ; curieusement, aucun exemplaire de l'Instruction apparait dans le catalogue de sa bibliothèque (Bibliothèque de Beuchot. Paris, 1851).« Catherine écrivit son Instruction en français; elle en a tiré une grande partie de l'Esprit des lois de Montesquieu et du Traité des Délits et des Peines, de Beccaria, quoiqu'elle n'ait fait aucune mention des sources où elle l'a puisée. C'est à M. Beuchot, qui le premier a fait cette remarque, que nous sommes redevable de la connaissance de ce fait. Ce qu'il y a de singulier, c'est que cette instruction, écrite d'abord en français traduite en russe et en allemand, et de cette dernière langue en français, puisse représenter dans la version donnée ( par Balthazard ) à Lausanne en 1769, de fréquents passages absolument conformes à la première édition de la traduction du Traité des Délits et des Peines, de Beccaria, par L'abbé Morellet (1766, in-8). Balthazard ayant reconnu les fragments empruntés par Catherine, trouva plus naturel de les copier fidèlement de Montesquieu et de l'ouvrage de Beccaria , traduit par Morellet, que de les traduire. En rédigeant le Nakaz, l'impératrice utilise une édition de L’Esprit des lois accompagnée de « remarques philosophiques et politiques d’un anonyme » (nombreuses réimpressions hollandaises en 1761-1764). Le nom de cet anonyme, Elie Luzac, reste inconnu à Catherine II — elle soupçonnait probablement D’Alembert — mais 21 articles du Nakaz sont largement inspirés des commentaires de Luzac, et trois autres témoignent de son influence ».Très bel exemplaire à grandes marges dans une reliure attribuable à Jean-Claude Bozerian d'après la roulette des plats.Barbier, II, 8695 ; Quérard, Supercheries dévoilées (I, p. 208 sqq. notes en bas de page, édition 1847) ; Paul Culot, Relieurs et reliures décorées en France aux époques Directoire et Empire, 81.
Reference : alb2f025bfa51b59725
Catherine II. Memoirs of lImperatrice Catherine II. Ecrits par elle meme et precedes dune preface par A. Herzen. Empress Catherine II's handwritten notes with a foreword by A. Herzen. In Russian (ask us if in doubt)/Ekaterina II. Memoires de lImperatrice Catherine II. Ecrits par elle meme et precedes dune preface par A. Herzen. Zapiski imperatritsy Ekateriny II napisannye eyu sobstvennoruchno s predisloviem A. Gertsena. Londres: Trubner Cie 1859. 352 p. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalb2f025bfa51b59725
Reference : albdc32e0bbb1f769cd
Catherine II: The Manifesto of E.I. V. Catherine II (with this proclamation to all Our Loyal Subjects): On the Beginning of War with the Ottoman Porta on November 18 1768. In Russian (ask us if in doubt)/Ekaterina II. Manifest E. I. V. Ekateriny II (Obyavlyaem chrez sie vsem Nashim vernym poddannym) ÃÃÃÃÃëO nachatii voyny s Ottomanskoyu PortoyuÃÃÃÃÃû. 18 noyabrya 1768 goda. The reason for the outbreak of war was the arrest of the Russian ambassador to Turkey Alexey Oreskov in response to an attack by the Haidamaks on the territory of the Crimean Khan. Oreskov was imprisoned in the Seven Tower Castle which meant a declaration of war according to Ottoman custom. On October 29 the Turkish army was called in to march on Russia. In response Catherine II declared war on Turkey with a manifesto of November 18 1768. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalbdc32e0bbb1f769cd
A Paris, chez Gide, 1798-1799, an VII. 2 vol. in-8 de (4)-438 pp. ; (4)-432 pp., demi-basane blonde, dos lisses ornés de filets dorés (reliure de l'époque).
Première édition française publiée par Jean-Henri Castéra, partagée avec Buisson la même année. Selon Barbier, l'édition originale parut à Saint-Pétersbourg en 1788-1789.Les pages de titre des deux volumes précisent que « ces pièces ont été composées en langue française, et représentées par des acteurs français sur le théâtre particulier de l'impératrice, appelé l'Hermitage, devant cette princesse et sa société intime, à la fin de 1787 et dans l'hiver de 1788 ». Voir à ce propos le long article de Quérard.Différents auteurs apportèrent leur collaboration au théâtre de l'Hermitage ; Tome I : Le Tracassier ; Crispin, Duègne (par le comte Louis-Philippe Ségur) ; La Rage aux Proverbes ; Le Jaloux de Valence (par d'Estat) ; Le Flatteur et les Flattés ; Gros-Jean ou la Régimanie (par le comte de Cobentzel) ; Caius-Marcius Coriolan (par le comte Louis-Philippe Ségur) ; L'Insouciant (par Alexandre Momonof) ; L'Amant Ridicule (par le prince de Ligne). Tome II : Les Quiproquo ; Le Sourd et le Bègue (par le comte Louis-Philippe Ségur) ; Les Voyages de M. Bontems ; Insipidus (par Chouwalof) ; Il n'y a point de mal sans Bien ; L'Enlèvement (par le comte Louis-Philippe Ségur) ; La Matinée de l'Amateur (par le comte Strogonof) ; L'Officier Suffisant ou le Fat Puni (par Mlle Aufrène) ; L'Homme Inconsidéré (par le comte Louis-Philippe Ségur) ; Imitation de Schakespear (sic). Les pièces où l'auteur n'est pas précisé sont attribuées à Catherine II.Portrait de Catherine II en frontispice, gravé par Tardieu d'après Ferdinand de Meys. Très bon exemplaire.Barbier IV, 688 ; Quérard, Supercheries I, 659.