Grenoble, Glénat, 2006, in-4 rel. cart. (25 x 33), 191 p., coll. "Exploration de la terre", ouvrage présenté par Jean Bastié et la Société de Géographie, préface de Anne-Marie Vallin-Charcot (petite-fille du commandant Charcot), riche iconographie en n. et en coul. (documents inédits issus des archives de la famille Charcot), bel envoi de l'auteur à Monique Delort Azzopardi, fille du marin qui a servi en 1933 comme quartier-maître timonier sur le "Pourquoi-Pas ?", jaquette, bon état.
Reference : QWA-19426
Comblant une longue absence de la France dans le domaine de la recherche polaire - depuis la découverte de la Terre Adélie par Dumont d'Urville en 1840 Charcot allait effectuer deux importantes expéditions en Antarctique, premièrement avec le Français en 1903-1905, puis à bord du Pourquoi Pas ? en 1908-1910. Les résultats de ces missions furent impressionnants : des milliers de kilomètres de côtes reconnues, des cartes marines d'une telle précision qu'elles sont encore utilisées un quart de siècle après par des pêcheurs de baleine, des milliers de photographies. Naviguant dans des conditions extrêmes à la lisière de la banquise, Charcot longe la Terre de Graham et découvre à 70º sud un territoire totalement inconnu qu'il baptise "Terre Charcot" en l'honneur de son père. Abondamment illustré par de nombreux documents inédits issus des archives de la famille Charcot, ce livre rend compte aussi des nombreuses missions scientifiques conduites par Charcot dans les mers du nord : aux îles Féroé, à Jan Mayen, en Islande et sur la côté oriental du Groenland où il collabore aux recherches de l'explorateur danois Mikkelsen, et où en 1934, il installe la mission ethnographique de Paul-Emile Victor. L'ultime chapitre de l'ouvrage évoque les conditions dramatiques du naufrage du Pourquoi Pas ? le 15 septembre 1936 au large d'Islande. Pris dans une tempête cyclonique, le navire se brise contre des récifs et sombre avec les membres de l'équipage. Il n'y a qu'un seul survivant, le maître-timonier Gonidec qui réussit à gagner la côte à la nage. Voir le sommaire sur photos jointes.
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Grenoble, Glénat, 2006, gr. in-4 rel. cart. (25 x 33), 191 p., préface de Anne-Marie Vallin-Charcot, présentation par Jean Bastié, abondante iconographie (photos, peintures, cartes, fac-similés), jaquette, très bon état.
Comblant une longue absence de la France dans le domaine de la recherche polaire - depuis la découverte de la Terre Adélie par Dumont d'Urville en 1840 Charcot allait effectuer deux importantes expéditions en Antarctique, premièrement avec le Français en 1903-1905, puis à bord du Pourquoi Pas ? en 1908-1910. Les résultats de ces missions furent impressionnants : des milliers de kilomètres de côtes reconnues, des cartes marines d'une telle précision qu'elles sont encore utilisées un quart de siècle après par des pêcheurs de baleine, des milliers de photographies. Naviguant dans des conditions extrêmes à la lisière de la banquise, Charcot longe la Terre de Graham et découvre à 70º sud un territoire totalement inconnu qu'il baptise "Terre Charcot" en l'honneur de son père. Abondamment illustré par de nombreux documents inédits issus des archives de la famille Charcot, ce livre rend compte aussi des nombreuses missions scientifiques conduites par Charcot dans les mers du nord : aux îles Féroé, à Jan Mayen, en Islande et sur la côté oriental du Groenland où il collabore aux recherches de l'explorateur danois Mikkelsen, et où en 1934, il installe la mission ethnographique de Paul-Emile Victor. L'ultime chapitre de l'ouvrage évoque les conditions dramatiques du naufrage du Pourquoi Pas ? le 15 septembre 1936 au large d'Islande. Pris dans une tempête cyclonique, le navire se brise contre des récifs et sombre avec les membres de l'équipage. Il n'y a qu'un seul survivant, le maître-timonier Gonidec qui réussit à gagner la côte à la nage. Voir le sommaire sur photos jointes.