Birmingham, Baskerville, 1762; in-12 (156x87mm), vélin translucide, dos lisse orné de fleurons dorés (trophées de la musique), titre et faux-nerfs dorés sur un fond peint, les plats décorés de deux grandes compositions peintes au lavis et bordés d’une guirlande dorée, dent. int. et tranches dorées; étui de maroquin à grain long demi-souple, roulette à froid autour des plats (Edwards of Halifax, v. 1785).
Reference : SKK-8
PRÉCIEUSE RELIURE DE EDWARDS OF HALLIFAX. Originaires de Halifax, les frères EDWARDS (installés à Londres de 1784 à 99 puis à nouveau à Hallifax) sont les inventeurs* de ces délicieuses reliures en vélin rendu transparent par une solution de cendres de perles dissoute dans l’eau, peintes “de l’intérieur” et dorées. Le raffinement et la délicatesse des décors leur valurent un grand succès dans la haute société anglaise: GEORGE III, HORACE WALPOLE , la Duchesse de DEVONSHIRE... furent les clients d’Edwards; elles sont cependant peu communes car leur prix élevé en limita la production. CE RAVISSANT SPECIMEN EST DÉCORÉ SUR LES PLATS DE DEUX GRANDS LAVIS EN CAMAIEU DE GRIS SYMBOLISANT LA MUSIQUE : MUSIQUE SACRÉE ET MUSIQUE PROFANE; le fer répété au dos est également emblématique de la musique. Les Odes d’Horace, dans l’Antiquité, étaient souvent mises en musique et chantées. ELLE EST PARFAITEMENT CONSERVÉE ET ACCOMPAGNÉE, CE QUI EST RARE, DE SON ÉTUI EN MAROQUIN DEMI-SOUPLE, QUI SORT ÉGALEMENT DE L’ATELIER D’EDWARDS . Le fer du dos est reproduit p. 200 (k) de l’article de Philippa Marks (The Edwards of Halifax Bindery in The British Library Journal). Ph. Marks, conservateur à la British Library, fait remarquer que la plupart des reliures en vélin d’Edwards se trouvent sur des exemplaires du Book of Common Prayer - et que les peintures des plats sont à thème religieux. Birmingham, Baskerville, 1762; in-12 (156x87mm), vélin translucide, dos lisse orné de fleurons dorés (trophées de la musique), titre et faux-nerfs dorés sur un fond peint, les plats décorés de deux grandes compositions peintes au lavis et bordés d’une guirlande dorée, dent. int. et tranches dorées; étui de maroquin à grain long demi-souple, roulette à froid autour des plats (Edwards of Hallifax, v. 1785).
Jadis et Naguère
Pascal et Olivia Ract-Madoux
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Paris, Gonin, 1939 [1958]. 2 volumes in-8°, [8]-179; 278p. en feuilles, sous couvertures illustrées rempliées, chemises et étuis.
Edition tirée à 400 exemplaires numérotés sur papier de chanvre et lin, fabriqué à la main, celui-ci exemplaire n° 312 justifié par l'éditeur. Illustré de 118 bois gravés d'Aristide Maillol. Texte latin avec en regard la traduction française en vers par le baron Delort revue par Madame Michel Roussier (!). Exemplaire en excellente condition.
Paris, Philippe Gonin, 1939. Deux volumes en feuilles (134 x 209) de [16]-179-[13]; [8]-278-[10] pages, couvertures blanches écrue à rabats. Sous chemise et étui cartonné blanc. Dos du second volume légèrement bruni comme souvent pour les exemplaires de luxe. Fantôme de rousseurs à quelques feuillets du premier volume.
Illustré de 118 gravures sur bois d’Aristide Maillol. Tiré à 350 ex. sur papier de chanvre et lin, fabriqué à la main selon la manière des anciens, (n°134) exemplaire dans la tranches des 50 avec une suite des gravure en bistre, présentée pour chaque volume, sous couverture à rabats, titrée, et numérotées à la main. Avec 118 bois dessinés et gravés de la main du grand artiste et un avis de l’éditeur suisse Philippe Gonin (qui a tiré les bois sur presse à bras), expliquant pourquoi l’ouvrage en grande partie imprimé depuis près de 20 ans (p. de titre et achevé d’imprimé restés tels qu’en 1939) ne parut qu’en 1958.
1939 Paris: Philippe Gonin, 1939-[1958]. 2 vol. in-8 reliés sous étui: 15 x 22 cm. I/ 5 ff., 179-[2] pp.; II/ 2ff. 278-[2] pp. Ouvrage illustré de 118 bois gravés de Maillol (51 dans le tome I et 67 dans le tome II dont plusieurs répétés) tirés à la presse à bras par Philippe Gonin lui-même. Tirage limité à 400 exemplaires sur chanvre et lin à la main, unique tirage et seul papier. Celui-ci, un des 350 numérotés en chiffre arabes et justifiée par l'éditeur (no. 307). Texte latin en regard de la version française revus par Madame Michel Roussier, archiviste-paléographe. Reliures en maroquin noisette signées Altermat, dos lisses avec auteur, titre et tomaison à froid, dos et plats ornés de motifs de feuilles, à froid, exécutés dans le style de Maillol. Tranche de tête dorée.Brochure d'origine conservée. Chemise et étui d'origine conservés. Dos d'origine contrecollé au dos de l'étui. Très bel ensemble.
Couverture rigide Philippe Gonin 1939 22,5x15 cm
2 vol., en feuilles sous cartable d'éditeur titré et orné au dos, sous emboîtage cartonné - 181 pp., 280 pp. L'un des 350 exemplaires numérotés et paraphés par l'éditeur (No 306) sur papier de chanvre et de lin, fabriqué à la main, selon la manière des anciens. Texte latin et version française revus par Mme Michel Roussier. Texte latin et traduction en vers par le Baron Delort. Gravures sur bois d'Aristide Maillol. Superbe édition en très bel état parue effectivement en 1958 (!). Photos sur demande.
MAISON DE LA POESIE. AVRIL1993. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 125 pages.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Sommaire : Le sentiment latin, Vulturnius : cinq poèmes, Jean Miniac : Carmina, Horace : Odes III, 13, Dominique Buisset : Magnificat anima mea nihilum, Lucrèce : de Rerum Natura, chant I, Denis Montebello : Au café d'Apollon, Virgile : Catalepton, Bernadette Engel-Roux : aux lèvres des péris Classification Dewey : 841-Poésie