Paris, Picard et Kaan, & Maurice Dreyfous, [1888], 17 X 25 cm., cartonnage éditeur, 212 pp. Illustrations de F. MASSE, frontispice en couleurs, bandeaux, lettrines et culs-de-lampe. Cartonnage éditeur rouge, dos orné en noir, plat supérieur orné en bleu et or, tranches dorées. Couvertures tachées, malencontreuses inscriptions sur le plat supérieur. Rousseurs éparses.
Reference : 699
ISBN : jpg
Librairie La Perle Rare
Mme Isabelle de Sercey
9 rue du Châtel
60300 Senlis
France
contact@librairie-laperlerare.com
06 70 29 10 39
Nos conditions de vente sont conformes aux usages de la librairie ancienne et moderne. Commande : Contactez-nous par mail ou par téléphone pour vérifier la disponibilité des articles qui vous intéressent. Nous vous communiquerons alors le montant des frais de port et vous confirmerons l’enregistrement de votre commande. Les droits d’importation sont à la charge des acheteurs étrangers. Frais d’envoi : Les frais d’emballage sont offerts. Les frais de port sont à la charge du client, en fonction du poids de l’objet et de la destination. Les envois sont effectués en recommandé à partir d’une valeur de 50 €, sauf avis contraire du client. Mode de règlement : Les règlements sont au comptant, par chèques tirés sur une banque française, par Paypal, par carte bancaire, ou par virement en euros. Envoi de la commande : La commande sera expédiée dans les meilleurs délais après encaissement du règlement. La Librairie La Perle Rare ne saurait être tenue pour responsable des problèmes d’acheminement de la Poste ou de tout autre transporteur. Vous pouvez demander une expédition à une adresse différente avec emballage cadeau et message personnalisé ; la facture vous sera alors envoyée séparément. Retours : Si un ouvrage ne correspondait pas à la description de notre catalogue, vous pourriez, avec notre accord, nous le retourner dans les huit jours, dans le même état qu’à l’achat, soigneusement emballé et suffisamment affranchi. Nous procéderions alors à son remboursement dans les plus brefs délais. Litiges : Tout litige serait réglé par le Tribunal de Commerce de Compiègne, selon le droit français.
Gallimard, 1977, in-8°, 367 pp, 32 pl. de gravures hors texte, carte, généalogies, chronologie, biblio, index, broché, bon état (Coll. Trente journées qui ont fait la France)
Le 31 juillet 1358, le massacre d'Etienne Marcel marqua la fin de la première Révolution de la bourgeoisie française. Grâce à l'étude approfondie des événements militaires, politiques, financiers consécutifs à la défaite et à la capture du roi Jean le Bon à Poitiers par les Anglais, ainsi que l'état économique et social de la France à l'époque, Jacques d'Avout donne tout son relief à la tentative d'Etienne Marcel et à son échec. Il dépouille le célèbre prévôt des marchands de ses couleurs d'image d'Epinal et nous présente un chef politique se heurtant à des adversaires supérieurs en habileté ou en duplicité. — "Un remarquable livre d'histoire d'une lecture agréable. Au début du XIVe siècle, les populations de différentes provinces de France montraient de l'opposition à l'absolutisme royal. Dans certaines régions les trois Etats, noblesse, clergé, bourgeois, s'unissaient contre cet absolutisme ; ailleurs, la bourgeoisie et le peuple seuls se rebellaient. Ce qu'on reprochait particulièrement aux derniers Capétiens directs et aux premiers Valois, c'était le caractère excessif des impôts et aussi les manipulations monétaires : dans les dix années qui suivirent la mort de Philippe VI, la livre tournois changea soixante-dix fois de valeur. A ces causes de mécontentement s'ajoutaient les désordres causés par les débuts de la guerre de Cent ans. « La vieille armature féodale de la France capétienne tombe en morceaux. » Aux Etats de langue d'oïl de 1355, Etienne Marcel, prévôt des marchands de Paris, fut l'orateur du troisième ordre et défendit les intérêts des « bonnes villes ». Marchand drapier, d'une famille bien apparentée de riches bourgeois, ses fonctions de prévôt, faisaient de lui le premier magistrat de Paris, partageant l'autorité avec le prévôt royal. Aux Etats de 1356, alors que le roi Jean II était prisonnier des Anglais et que les Etats manifestaient leur désir de participer à la direction des affaires du royaume, il fut encore l'orateur des « bonnes villes ». Au début ses revendications concernant la fixité des monnaies étaient des plus justifiées. Mais peu à peu, sans doute grisé par sa popularité qui était grande, il se laissa entraîner par les passions qu'il avait contribué à déchaîner. En janvier 1357, il accentue son opposition au dauphin – le futur Charles V – régent du royaume et prend figure de rebelle, de chef d'émeute. L'année suivante, il envahit le palais royal, suivi d'une populace, et trois familiers du Dauphin sont massacrés ; il renforce les défenses de Paris et organise au cœur de la Cité une armée de mercenaires. Mais, tandis que le régent assiège Paris, un complot est ourdi dans le propre parti d'Etienne Marcel et celui-ci est assassiné... L'absolutisme royal, dans la suite, est rétabli ; la tentative d'association des Etats au gouvernement du royaume a échoué. Dans le livre si attachant de M. Jacques d'Avout, Etienne Marcel n'apparaît ni comme un « traître », ni comme une préfiguration de Danton." (Revue des Deux Mondes, 1960)
Gallimard, 1961, in-8°, 367 pp, 32 pl. de documents hors texte, une carte, généalogies, chronologie, biblio, index, reliure pleine percaline vert olive, bon état (Coll. Trente journées qui ont fait la France)
Le 31 juillet 1358, le massacre d'Etienne Marcel marqua la fin de la première Révolution de la bourgeoisie française. Grâce à l'étude approfondie des événements militaires, politiques, financiers consécutifs à la défaite et à la capture du roi Jean le Bon à Poitiers par les Anglais, ainsi que l'état économique et social de la France à l'époque, Jacques d'Avout donne tout son relief à la tentative d'Etienne Marcel et à son échec. Il dépouille le célèbre prévôt des marchands de ses couleurs d'image d'Epinal et nous présente un chef politique se heurtant à des adversaires supérieurs en habileté ou en duplicité. — "Un remarquable livre d'histoire d'une lecture agréable. Au début du XIVe siècle, les populations de différentes provinces de France montraient de l'opposition à l'absolutisme royal. Dans certaines régions les trois Etats, noblesse, clergé, bourgeois, s'unissaient contre cet absolutisme ; ailleurs, la bourgeoisie et le peuple seuls se rebellaient. Ce qu'on reprochait particulièrement aux derniers Capétiens directs et aux premiers Valois, c'était le caractère excessif des impôts et aussi les manipulations monétaires : dans les dix années qui suivirent la mort de Philippe VI, la livre tournois changea soixante-dix fois de valeur. A ces causes de mécontentement s'ajoutaient les désordres causés par les débuts de la guerre de Cent ans. « La vieille armature féodale de la France capétienne tombe en morceaux. » Aux Etats de langue d'oïl de 1355, Etienne Marcel, prévôt des marchands de Paris, fut l'orateur du troisième ordre et défendit les intérêts des « bonnes villes ». Marchand drapier, d'une famille bien apparentée de riches bourgeois, ses fonctions de prévôt, faisaient de lui le premier magistrat de Paris, partageant l'autorité avec le prévôt royal. Aux Etats de 1356, alors que le roi Jean II était prisonnier des Anglais et que les Etats manifestaient leur désir de participer à la direction des affaires du royaume, il fut encore l'orateur des « bonnes villes ». Au début ses revendications concernant la fixité des monnaies étaient des plus justifiées. Mais peu à peu, sans doute grisé par sa popularité qui était grande, il se laissa entraîner par les passions qu'il avait contribué à déchaîner. En janvier 1357, il accentue son opposition au dauphin – le futur Charles V – régent du royaume et prend figure de rebelle, de chef d'émeute. L'année suivante, il envahit le palais royal, suivi d'une populace, et trois familiers du Dauphin sont massacrés ; il renforce les défenses de Paris et organise au cœur de la Cité une armée de mercenaires. Mais, tandis que le régent assiège Paris, un complot est ourdi dans le propre parti d'Etienne Marcel et celui-ci est assassiné... L'absolutisme royal, dans la suite, est rétabli ; la tentative d'association des Etats au gouvernement du royaume a échoué. Dans le livre si attachant de M. Jacques d'Avout, Etienne Marcel n'apparaît ni comme un « traître », ni comme une préfiguration de Danton." (Revue des Deux Mondes, 1960)
Au bureau du journal.. 8 NOV 1879. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 497 à 512 et de 513 à 528. Lecture en colonnes. Illustrée de quelques gravures en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque
Revue universelle. Sous la direction de Victor Lecoffre. Sommaire : LA HOLLANDE, IL Y A DEUX CENTS ANS IX DE CH. BARTHELEMY, L'HERITAGE DE MME HERVETTE VI DE ETIENNE MARCEL, CAUSERIE LITTERAIRE DE CH. BARTHELEMY, LES FAISEURS DE MIEL VII DE THERESE ALPHONSE KARR, SOEUR FRANCOIS-XAVIER DE LEON AUBINEAU + N°33 : LA FAMILLE HARTMANN DE MARIE GUERRIER DE HAUPT, SOEUR FRANCOIS-XAVIER DE LEON AUBINEAU, LA HOLLANDE, IL Y A DEUX CENTS ANX X DE CH. BARTHELEMY, L'HERITAGE DE MME HERVETTE VI DE ETIENNE MARCEL, LES CHOUANS DE G. DE CADOUDAL. Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque
Hachette et cie 1860 440 pages in8. 1860. Relié. 440 pages.
bon Etat inscription + tampon haut page faux titre coins assez frottés
Adrien égron 1815 520 pages in8. 1815. Broché. 520 pages.
Etat Correct au vu de son grand âge texte frais couverture abimée