Paris, Morizot, [1864], 17 X 25 cm., relié, 543 pages. Traduction nouvelle et en prose par M. V. PHILIPPON de la MADELAINE, précédé d'une introduction par M. Jules JANIN. Illustrations en noir in et hors texte par Tony JOHANNOT, Henri BARON, FRANCAIS et Célestin NANTEUIL. Demi-chagrin à coins et nerfs, tranches mouchetées. Discrètes épidermures et rousseurs éparses. Cela reste un bel exemplaire.
Reference : 4056
ISBN : jpg
Librairie La Perle Rare
Mme Isabelle de Sercey
9 rue du Châtel
60300 Senlis
France
contact@librairie-laperlerare.com
06 70 29 10 39
Nos conditions de vente sont conformes aux usages de la librairie ancienne et moderne. Commande : Contactez-nous par mail ou par téléphone pour vérifier la disponibilité des articles qui vous intéressent. Nous vous communiquerons alors le montant des frais de port et vous confirmerons l’enregistrement de votre commande. Les droits d’importation sont à la charge des acheteurs étrangers. Frais d’envoi : Les frais d’emballage sont offerts. Les frais de port sont à la charge du client, en fonction du poids de l’objet et de la destination. Les envois sont effectués en recommandé à partir d’une valeur de 50 €, sauf avis contraire du client. Mode de règlement : Les règlements sont au comptant, par chèques tirés sur une banque française, par Paypal, par carte bancaire, ou par virement en euros. Envoi de la commande : La commande sera expédiée dans les meilleurs délais après encaissement du règlement. La Librairie La Perle Rare ne saurait être tenue pour responsable des problèmes d’acheminement de la Poste ou de tout autre transporteur. Vous pouvez demander une expédition à une adresse différente avec emballage cadeau et message personnalisé ; la facture vous sera alors envoyée séparément. Retours : Si un ouvrage ne correspondait pas à la description de notre catalogue, vous pourriez, avec notre accord, nous le retourner dans les huit jours, dans le même état qu’à l’achat, soigneusement emballé et suffisamment affranchi. Nous procéderions alors à son remboursement dans les plus brefs délais. Litiges : Tout litige serait réglé par le Tribunal de Commerce de Compiègne, selon le droit français.
A Paris, Chez Laporte, [1795] ; 4 volumes in-8, demi-veau marbré havane, dos lisse, estampé de frises et filets dorés, pages de gardes et tranches jaspées, pièces de titre, titre et tomaison en lettres dorées, non rognés. (Reliure de l'époque). 2 ff., 374 pp - 2 ff., 390 pp - 2 ff.,384 pp et 2 ff., 389 pp.
Ouvrage orné de 46 planches dessinées par C. N. Cochin gravées par De Launay, Lingée et Ponce, les mêmes que celles du Roland Furieux traduit par d'Hussieux paru chez Brunet en 1775-1783. Sans le portrait en frontispice de l'Arioste dessiné par Eisen d'après le Titien. Elle est précédée d'un Abrégé de la vie de l'Arioste extraite de Simon Fornari, de l'abbé Pezana, etc., d'une traduction de la Lettre de Galilée au seigneur François Rinuccini (au sujet de l'Arioste et du Tasse). Le dernier tome contient un extrait du Roland de Boyardo (pp.100-261) ainsi que la Fleur des Batailles de Doolin comte de Mayence." Chef-d'uvre de l'Arioste, poète italien de la Renaissance, le Roland Furieux (Orlando Furioso), parodie du poème chevaleresque, tresse, avec une habileté et une ironie, trois grands thèmes : la guerre entre Charlemagne et les Sarrasins, la folie de Roland vainement amoureux de l'inconstante Angélique, enfin les amours et le mariage de Roger et Bradamante, ancêtres imaginaires de la dynastie d'Este. Composé de 46 chants, mêlant le tragique au plaisant, le lyrique au romanesque, usant avec autant de liberté que de maîtrise de toute la culture européenne, d'Homère aux contemporains en passant par les romans médiévaux, le Roland furieux, expérience livresque et humaine de l'Arioste en une symphonie perpétuellement mouvante de personnages et d'événements qui, après l'écroulement des repères du Moyen Âge, reflète le scepticisme souriant de la Renaissance. Ses compatriotes, l'ont surnommé le divin Arioste et son ottava rima a été appelé ottava d'oro (la huitième d'or). Il publia son poème pour la première fois en 1516, en 40 chants, mais il ne cessa de le retoucher et en donna en 1532 une édition augmentée de six chants. ". Photos sur demande.
P., Paulin, 1846, 4 vol. in-16, xi-300, 280, 297 et 284 pp, notes, les 4 tomes reliés en 2 volumes demi-toile havane, dos lisses avec filets à froid, titres et tomaisons dorés (rel. de l'époque), qqs rares rousseurs, bon état
Chef-d'œuvre de l'Arioste, poète italien de la Renaissance, le Roland Furieux (Orlando Furioso), parodie du poème chevaleresque, tresse, avec une habileté et une ironie, trois grands thèmes : la guerre entre Charlemagne et les Sarrasins, la folie de Roland vainement amoureux de l'inconstante Angélique, enfin les amours et le mariage de Roger et Bradamante, ancêtres imaginaires de la dynastie d'Este. Composé de 46 chants, mêlant le tragique au plaisant, le lyrique au romanesque, usant avec autant de liberté que de maîtrise de toute la culture européenne, d'Homère aux contemporains en passant par les romans médiévaux, le Roland furieux, expérience livresque et humaine de l'Arioste en une symphonie perpétuellement mouvante de personnages et d'événements qui, après l'écroulement des repères du Moyen Âge, reflète le scepticisme souriant de la Renaissance. Ses compatriotes, l'ont surnommé le divin Arioste et son ottava rima a été appelé ottava d'oro (la huitième d'or). Il publia son poème pour la première fois en 1516, en 40 chants, mais il ne cessa de le retoucher et en donna en 1532 une édition augmentée de six chants.
Paris Seuil 2000, 2 volumes forts et grands in-8, 964+1160 pages. Brochés sous emboitage illustré en noir d'éditeur. Jamais ouvert, encore filmé.(2600 gr.)
Edition bilingue, traduction de Michel Orcel, présentation d'Italo Calvino. "Traduire le Roland furieux est un gigantesque défi: Michel Orcel l'a relevé. Non seulement il nous restitue les 4842 huitains de l'original, mais il nous propose une traduction en vers, car c'est d'après lui le seul moyen de retrouver en français la «polytonalité» de l'œuvre et sa variété de registres. Comme il s'en explique dans une note détaillée et fort instructive, il prend quelques libertés par rapport aux règles métriques traditionnelles.Le résultat force l'admiration, et nous sommes en présence d'une traduction qui fera date. Un des principaux modèles dont Michel Orcel s'est inspiré est Audiberti et sa traduction partielle de la Jérusalem délivrée du Tasse (Les Flèches d'Armide, Imprimerie nationale), l'un des absolus chefs-d'œuvre du genre. Il a tenu aussi compte de la version de La Divine Comédie fournie par André Pézard, «trop fréquemment méprisée». C'est dire que ce Roland furieux n'est pas seulement un magnifique hommage rendu à l'Arioste, mais aussi une passionnante expérience linguistique où la langue française a certainement tout à gagner."Article dans "Le Temps"
Paris, F. Knab, Editeur, 20 rue des Grands-Augustins, 1839, 3 volumes in-8 de 230x145 mm environ, Tome 1. faux-titre, titre avec vignette, xxviii-367 pages, Tome 2. faux-titre, titre avec vignette, 456 pages, 2ff (indication du placement des vignettes, errata), Tome 3. faux-titre, titre avec vignette, 503 pages, demi chagrin à coins vert sapin, dos lisses portant titres et tomaisons dorés, ornés de motifs romantiques dorés, gardes marbrées, couvertures et dos conservés. Complet du frontispice et des 85 planches contrecollées, hors-texte gravées, numérotées et tirées sur Chine d'après Français, Meissonnier, Girardet, Demoraine, etc. 4 vignettes sur Chine ajoutées en début de tome I (double des vignettes : N° 71, 73, 75, 76). Couvertures d'origine, reliures et tranches insolées, petits frottements sur le cuir, mors interne du tome I fragilisé, quelques rousseurs légères, déchirures habilement restaurées sans manque p. 127 et 209 du tome III, sinon bel exemplaire bon état.
Ludovico Ariosto dit L'Arioste (né le 8 septembre 1474 à Reggio d'Émilie et mort le 6 juillet 1533 à Ferrare) est un poète italien de la Renaissance.Orlando furioso (ou Roland furieux) est un poème épique composé de 46 chansons in ottava rima, comptant 38 736 vers composé par Ludovico Ariosto, dit « l'Arioste ». L'ouvrage, dont la rédaction a commencé en 1505, a connu une première publication en 1516, puis a été repris et développé en 1521 et achevé en 1532. D'abord rédigé dans le dialecte italien utilisé à Ferrare, il a été adapté par l'auteur en toscan littéraire. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris, Morizot, s.d. (fin XIXe) 16 x 25, 543 pp., cartonnage éditeur, bon état
traduction nouvelle et en prose par V. PHILIPPON de LA MADELEINE, introduction par Jules JANIN, illustrations de Tony JOHANNOT, BARON, FRANCAIS et C. NANTEUIL