in 8 reliure d’éditeur illustrations photographiques sans jaquette
Reference : 2378
Charbonnel
M. Sylvain Charbonnel
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S.l., s.d. (vers 1770) in-folio, [16] ff. n. ch., couverts d'une écriture moyenne et lisible (environ 40 lignes par page), nombreuses ratures et biffures, en feuilles.
Petite étude sous forme de brouillon, qui regroupe des fragments d'une notice sur Lille et la Flandre wallonne. Il se compose de plusieurs parties numérotées, mais présente tous les caractères d'un simple canevas, au demeurant sans nom d'auteur. Nous avons, dans l'ordre des numéros apposés aux feuillets :1. Numéro 1. Traité de la Flandre wallonne : ce que c'est que la Flandre wallonne, ses bornes, son sol, son climat, ses villes, ses bourgs, ses villages : ff. 2-3.2. Chapitre second. Lille, capitale de la Flandre wallonne, l'origine de son nom, sa naissance, son accroissement : ff. 4-5.3. Numéro 3 : ff. 6-7. Le texte commence par une mention du mythique Flandebert, qui aurait été le fondateur de la ville : "Flandbertus, ayant fait la paix avec Caius Anstitius lieutenant de César et ayant obtenu tout le pays qui s'étend depuis Cambrai jusqu'à l'océan, à condition cependant d'être soumis aux Romains, bâtit d'abord Harlebec et ensuite Lille. Tel est le sentiment de Pierre Oudegherste [dans ses Annales de Flandre, 1571] ".4. Numéro 4 : ff. 8-9. Suite du texte précédent, décrivant le château de Lille et ses vicissitudes jusqu'en 1605.5. Numéro 5. Position de la ville de Lille, ses édifices tant sacrés que prophanes, ses jardins, ses habitans, ses fauxbourgs : ff. 10-11.6. Numéro 6 : f. 12. Suite de la description des édifices.7. Numéro 7. Richesses de la ville de Lille, son commerce, et ses différents ouvrages : f. 13.8. Numéro 8. Chapitre V : quels sont les princes qui ont habité Lille et qui l'ont embellie, soit par leur présence, soit par leurs ouvrages : ff. 14-16. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
(c.1791) à vue : 44 x 54 cm - cadre : 57.5 x 67 cm , cadre contemporain noir. Quelques rousseurs, pliures et petits manques au cadre. Une mouillure dans le coin inférieur droit.
"Peint par L. Watteau, Professeur de l'Académie de Lille en Flandre,1790. / Gravé par Helman, de la même académie 1791. / Se Vend à Lille chez L. Watteau, Rue et vis-à-vis L'Eglise St Pierre. Et à Paris chez l'Auteur, rue St Honoré n°315"L'oeuvre originelle, une huile sur toile réalisée par Louis-Joseph Watteau en 1790 est conservée au Palais des Beaux-Arts de Lille.Un exemplaire provenant de la collection Edmond de Rothschild est conservé au Louvre. WATTEAU Louis Joseph (1731-1798) dit Watteau de Lille, neveu du célèbre Jean-Antoine Watteau. Originaire de Valenciennes, Louis-Joseph fut particulièrement sensible à la peinture de ses voisins flamands. Son style se caractérise par une touche lisse, un dessin précis et un réalisme teinté d’une sensibilité très en vogue à l’époque, notamment sous la tutelle Jean-Baptiste Greuze. Après des études à Paris, il ouvre un atelier dans sa ville natale en 1756, avant de s'installer à Lille en 1765. Il réussit à s'imposer petit à petit comme le peintre officiel de la ville après être devenu en 1778, professeur au sein de l'Académie des Beaux-Arts. Son fils François-Louis-Joseph Watteau (1758-1823) sera également surnommé Watteau de Lille. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Lille, L. Danel, s.d. (1853) in-4, 36 pp., broché sous couverture verte avec encadrements et titre poussés en lettres dorées.
Unique édition, peu commune.Le 24 septembre 1853, la Chambre de commerce de Lille organisait une réception en la présence de Napoléon III, avant d'inaugurer le 9 octobre suivant la pose de la première pierre d'une statue de Napoléon 1er "protecteur de l'industrie", dans l'immeuble construit en 1652-1653 par Julien Destrée et qui sera appelé plus tard "Vieille Bourse".À cette occasion, fut annexée au document-support et remise à Napoléon III une liste de patrons lillois et de leurs genres d'activités industrielles en 1853, particulièrement dans les domaines de la construction de machines et mécanique, du tissage et filature mécanique du lin et du coton, la teinturerie, apprêts, rouissage, la fabrication de produits chimiques, noir animal et colorants, soude artificielle, savonnerie, l'agroalimentaire avec la raffinerie du sucre et la fabrication de chicorée. À la fin de son discours, l'Empereur délègua au sénateur Jean-Baptiste Dumas, ancien ministre et cofondateur de l'École centrale des arts et manufactures, le soin de venir à Lille le 9 octobre 1853 pour des échanges avec Frédéric Kuhlmann sur l'établissement d'une école supérieure industrielle, qui est aujourd'hui devenue l'École centrale de Lille. Quant à la statue de l'Empereur Napoléon Ier, elle fut transférée au Palais des beaux-arts de Lille en 1976. Absent de Ruggieri. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Lille, C. L. Boubers, s.d. (1794) in-8, viii pp., 335 pp., demi-basane brune, dos lisse, filets dorés (reliure du XIXe s.). Petites usures aux coiffes.
Unique édition de cette adaptation de la loi du maximum des denrées au district de Lille.Au CCF, exemplaires seulement à la BnF et à Lille.Cachet humide de H. Faure, de Lille. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Bruxelles, Eugène Henrÿ FRICX, 1709 sans les marges : 42 x 54 cm - cadre : 60.5 x 70.5 cm, cadre contemporain à baguettes. Pliure centrale. Quelques taches.
Beau plan gravé figurant la citadelle de Lille, oeuvre de Vauban et de son profil par Eugène Henry Fricx d'après les dessins du capitaine Brüchman. Titre dans un cartouche ornementé : Armoiries du prince Eugène de Savoie entourées de figures allégoriques : "Présenté à S.A.S. Monseigneur le Prince Eugène de Savoye. par son res.humble serviteur et tres.obeissant Eugène Henry Fricx/Plan de la citadelle de Lille./ Laquelle, après que la Ville fut prise le 22 octobre, on a aussi commencé d'attaquer sous le commandement de S.A. le Prince Eugène de Savoye dès le 29 et ainsi continué, comme il se voit par les renvoys suivans, jusques au 8 Décembre 1708 lorsque l'ennemi battit la chamade à 8 heures du matin, et en sortit trois jours après tambour batant et enseignes déployées. Le tout dessiné et levé avec la dernière exactitude pendant et après le siège, avec les attaques et la force des ouvrages représentés en Profil par le Sueur Brüchman Capitaine de S.A.E. de Bruns: Luneb: et Hanovre [...]A BRUXELLES. Chez Eugène Henrÿ Fricx rue de la madeleine. 1709. Echelle de 200 toises pour la citadelle. Echelle de 20 toises pour le profil."Eugène Henri Fricx (1644-1730) Imprimeur-libraire belge, imprimeur du Roi (1689) et de Sa Majesté Impériale et Catholique (1715)Édifiée sur ordre de Louis XIV à sa conquête de la ville, la Citadelle de Lille a été édifiée entre 1667 et 1670 par Sébastien Le Prestre, marquis de Vauban (1633-1707) - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT