Couverture souple bleue. Intérieur propre. Déchirures sur la couverture.
Reference : 78583
Mermod 1943 248 pp. In-12. Broché. Etat passable. 1 volume.
Librairie Koegui
M. Guy Neplaz - Isabelle Bilbao
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France
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1869 Garnier frères, [1869]., Paris, - gravure coloriée sur papier fort, d'après Grandville, gravée sur bois par Desperet et coloriée. Dimensions de la feuille : 27 x 17 cm environ, couleurs fraiches.
signée J.-J. Grandville ; sur un grand nombre de planches, les légendes sont modifiées ou augmentées" (Vicaire, V, 787).Jean Ignace Isidore Gérard, né le 13 septembre 1803 à Nancy et mort le 17 mars 1847 à Vanves, est un caricaturiste français, connu sous le pseudonyme de J.J. Grandville. Le dessin de Grandville est très inspiré de la caricature. Il est un novateur et donne aux animaux ou aux fleurs un supplément d'âme... Grandville meurt très jeune, marqué par la mort de sa femme et de ses trois enfants.
Paris, Librairie Marpon et Flammarion, s. d. (circa 1892) ; in-4, demie-toile violette à la bradel, pièce de titre miel entre deux doubles filets dorés, un fleuron décoratif doré au dos, double filet doré en pied du dos ; (4) ff. (bl.), 14 pp. (faux-titre, titre, dédicace, citation, préface), IV pp. (introduction), 300 pp., (5) ff. (2 ff. de table, bl.) ; 17 planches hors-texte d'illustrations en noir sur papier blanc fort, quelques illustrations en noir in-texte.
Envoi manuscrit signé de l'auteur. Dos légèrement sali, sinon exemplaire en bel état, en partie non coupé, intérieur frais.
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A. LAHURE/L. BASCHET. 1 JUIN 1885. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 113 à 128. Nombreuses illustrations en noir et blanc et couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : Le duel et l'escrime, Un duel judiciaire au VIe siècle par E. Grasset, Le duel par Adolphe Tavernier, Le duel du bon chevalier Bayard et de Don Alonzo de Soto-Maior par Grasset, Quelques duels par Haute-Clère, Les trois duels de la Maupin par Jules Girardet, Une querelle sous Louis XIII par Detti, Un commandement a vingt-cinq par Myrbach, Un duel militaire par Marius Roy, L'escrime a cheval, Le duel de l'abbé de Gondi et de M. de Launay par Adrien Marie, Le duel des mignons par Detti Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Paris, Caille et Ravier, 1819 In-8 de XII, 123, (1), 60 pp., (2) ff. ms, , 4pp., demi-veau havane, dos lisse orné de filets dorés et à froid et de palettes dorées en pied, tranches mouchetées (reliure de l'époque).
"Édition originale de cet essai de droit libéral sous l'égide de la Charte. Gastronome, Jean Anthelme Brillat-Savarin (1755-1826), est avant tout homme du droit, avocat de formation, qui fit carrière comme conseiller à la Cour de Cassation. C'est en juriste qu'il livre ici son opinion sur la question du duel : ""Il ne s'agit pas de décider si le duel est une chose bonne, licite, ou morale en soi […] mais seulement d'examiner si les faits qui constituent un duel sans déloyauté, sont qualifiés et punis par nos lois actuelles "". Remontant aux sources, l'auteur présente l'histoire du duel depuis les temps féodaux jusqu'à la législation répressive du Code pénal de 1810 avant d'exposer la situation contemporaine. Brillat-Savarin, en magistrat libéral se prononce résolument contre l'idée de légiférer à nouveau sur les duels, affirmant qu'il faut plutôt chercher leur diminution progressive ""au moyen de l'opinion publique"" : ""c'est à tous ceux qui dirigent cette opinion, au roi […], aux chefs de corps […], aux écrivains […], aux théâtres […], de se réunir pour attaquer le duel par les armes combinées de l'autorité, de la moral en de la raison, et même du ridicule […]"". Remarquable exemplaire enrichi d'un billet autographe signé par André Dupin (1783-1865), inamovible procureur-général près la Cour de cassation, sous la Monarchie de juillet puis l'Empire, à François Sauvo, directeur du Moniteur universel . Cette courte missive, indiquant avoir relevé trois erreurs dans le compte rendu de son discours publié dans le journal, accompagne l'Arrêt rendu par la Cour de cassation […] à l'audience solennelle du 15 décembre 1837 sur la question des duels. Cette publication ""imprimée par ordre de la Cour"", comprend deux parties, le Rapport de M. le conseiller Bérenger, suivi du Réquisitoire de M. le procureur-général Dupin. La Cour de cassation avait été saisie à la suite d'un jugement de la cour royale de Bourges confirmant ceux de la Cour royale d'Orléans après le tribunal de Tours, en faveur du non-lieu pour un homme ayant, à la suite d'un duel à l'épée, tué son adversaire. Rappelant que les codes successifs de 1791 et de 1810 ne mentionnaient plus spécifiquement le duel mais condamnaient évidemment l'homicide, le Rapport indique que les juges en avaient tiré deux interprétations juridiques divergentes : tuer ou blesser son adversaire dans ce type d'affrontement devait être puni comme tout autre homicide, ou a contrario, le législateur n'ayant pas inclus spécifiquement le duel dans le code, le vainqueur d'un combat létal pouvait échapper aux poursuites. À la suite du Rapport, le Réquisitoire de Dupin réaffirme avec force la jurisprudence de la Cour de cassation en faveur de la première lecture. On trouve enfin, relié à la suite, une pièce imprimée par Pain, au Palais-Royal, relatant le Grand duel Arrivé aujourd'hui, 11 Août [1791], au Bois de Boulogne; entre Messieurs Cazalès et Barnave Députés de l'Assemblée Nationale. À l'issue de cette rencontre, le député royaliste Jacques Antoine Marie de Cazalès (1758-1805), duelliste récidiviste et malheureux, à l'épée comme au pistolet, avait été blessé par balle. Très bel exemplaire en élégante reliure du temps."
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