Édition du IVe Centenaire. Reliure pleine percaline bordeaux. Dos lisse avec pièce de titre. Coiffe supérieure frottée. Tranche supérieure mouchetée. Intérieur propre. Illustré d'un portrait de Joachim du Bellay en frontispice. TIRAGE LIMITE. Celui-ci un des 280 exemplaires sur vergé Pannekoek.
Reference : 2161
Paris La Connaissance 1925 122 pp. In-8 Relié 1 volume Ouvrage en bon état. Rare.
Librairie Koegui
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[Schlesinger] - SCRIBE ; ROMAGNESI ; ROGER, Joseph ; CARAFA ; PANSERON
Reference : 27432
(1822)
1 vol. in-4 reliure de l'époque demi-chevrette verte, circa 1820-1830, Schlesinger et alii, contient : J. Roger : Les regrets de Chactas au tombeau d'Atala. Paroles de Mr. W... C... Nocturne en forme de scène mis en musique avec accompagnement de Piano dédié à Mr. F. Falconet de Naples, par J. Roger [ Suivi de : ] La Muette de Portici, Opéra en 3 actes, Paroles de MM. Scribe & Germain Delavigne, Musique de D.F.E. Auber avec accompagnement de Piano ou Harpe. n° 10, 14, 5, 15 [ Suivi de :] Le Comte Ory, Opéra en deux actes, Paroles de MM. Scribe et Poirson, Musique de G. Rossini. N°3, 10, 9 [ Suivi de : ] Les Deux Nuits. Opéra comique. Air chanté par Mr. Chollet, Paroles de MM. Bouilly et Scribe, musique de Mr. A. Boieldieu N° 4, 6, 7, 10, 14, 15, 11, 2 [ Suivi de : ] La Fête du Village voisin, air chanté par Martin, paroles de Mr. Sewrin, musique de Boieldieu n° 5 [ Suivi de : ] Le Barbier de Séville Opéra en grande partition avec texte italien et français, Paroles de M. Castil-Blaze, musique de Rossini n° 2 [ Suivi de : ] Masaniello ou le Pécheur Napolitain. Paroles de Moreau et Lafortelle, musique de Carafa n° 9, 1, 5, 4 [ Suivi de : ] Le Colporteur, Opéra comique en 3 actes, paroles de Mr. Planard, musique de Mr. G. Onslow, n° 11 [ Suivi de : ] La Nouvelle somnambule, vaudeville en trois actes, paroles de Mr. Théaulon, romance chantée par Mr. Lafont, mis en musique par A. Rogat, n° 294 [ Suivi de : ] Romance de la Nouvelle Somnambule chantée par Mlle J. Colon au Théâtre du Vaudeville, paroles de Mr. Theaulon, musique composée et dédiée à Mademoiselle Jenny Colon, par J. Doche n° 293 [ Suivi de : ] Te faut-il plus ? Te faut-il moins ? Romance de Mr. le Cte Jules de Rességuier, mise en musique par A. Romagnesi [ Suivi de : ] Ouvrez-moi ? Chansonnette Paroles de M. Eugène Scribe, musique de F. E. Auber [ Suivi de : ] Le tems, le plaisir et la peine, chansonnette de Mr. Justin-Gensoul, mise en musique par A. Romagnesi [ Suivi de : ] Il est Parti, Romance de M. Charles Hebert, par Achille Hebert [ Suivi de : ] Les Fruits de l'Education, chansonnette de Mr. H. T. Poisson, musique d'Edouard Bruguière [ Suivi de : ] Monsieur Botte. Vaudeville. Ronde du milicien chantée par Mlle Flore, paroles de Mm. Dupeuty et de Villeneuve, musique d'A. Adam [ Suivi de :] Les Aveux de Lucette. Chansonnette de Mr. Edouard L., mis en musique avec accompagnement de Piano par Mlle Anaïs Roger [ Suivi de : ] L'Ermite. Chansonnette. Paroles de Mr. Vaissière, mise en musique par Joseph Roger [ Suivi de : ] La Mère et l'Amant, chansonnette de Mr. Justin-Gensoul, mise en musique par A. Romagnesi [ Suivi de : ] Dans l'ombre de la nuit. Chansonnette Paroles d'E. L. Mise en musique par Anaïs Roger [ Suivi de : ] Qui vous a vu doit vous aimer toujours. Romance. Paroles de Mr. Musique d'Auguste Panseron
Très intéressant recueil de partitions publié sous la Restauration, contenant notamment bon nombre de titres lithographiés tout à fait typiques. On remarquera notamment "Les regrets de Chactas au tombeau d'Atala" ou "Romance de la Nouvelle Somnambule chantée par Mlle J. Colon" (lith. de H. Monnier) et "Ouvrez-moi ? Chansonnette Paroles de M. Eugène Scribe". Etat très satisfaisant (accroc à 2 ff. sans mq., rel. frottée en dos et coins, bon état par ailleurs).
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Mulhouse, Dur's elsass zislin, 1912; in-folio, br. N°141 regrets posthumes.
N°141 regrets posthumes.
J. DUMOULIN. 1906. In-4. Cartonné. Etat d'usage, Coins frottés, Dos fané, Quelques rousseurs. 342 pages - Nombreuses photos noir/blanc, dans et hors texte - etiquette du dos frottée - couverture volante - 2 photos disponibles. . . . Classification Dewey : 942-Angleterre
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Paris Librairie Garnier Frères, sans date 1920 in 8 (20,5x14) 1 volume broché, couverture rempliée, 170 pages [1]. Exemplaire numéroté. Pierre Camo, célèbre poète Roussillonnais, né à Céret en 1877. Le livre des regrets est une des réussites du néo-classicisme. Bel exemplaire
Très bon