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BOUILLET, Louis
Traité de fabrication des conserves
Montreuil-sous-bois, 1913, 7ème édition, éd. par la S.A. Etablissements WEISSENTHANNER - A. Poméon et fils, iN-8 étroit, agrafé, 36pp, nb. gravures en noir Présentation visuelle des différents bocaux et machines permettant de faire le vide. Quelques bonnes recettes (truffes, fruits, légumes viandes) Pas courant. défraîchi
Reference : 62386
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Le Festin de Babette
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France
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Traité de fabrication des conserves.
Paris, A. Poméon et fils, 1911, 6e édition, in-8, cartonnage souple agrafé éd., 36 pp., papier glacé, très nb. dessins en noir, préface de A. Weissenthanner, Table des matières, Très intéressante plaquette sur la fabrication de conserves de toutes sortes de produits : truffe, fruits, légumes, viandes, etc.. Le mode d'emploi des machines qui permettent de faire le vide et donc de conserver les aliments. Le tarif des bocaux est joint. Pas courant. Bon état; la couverture est légèrement défraîchie.
TRAITE DE FABRICATION DES CONSERVES
1921 plaquette (booklet) in-octavo, première de couverture imprimée (front cover printed), illustrations : figures (pictures) in-texte (in text), 28 pages, 1921 à Montreuil-sous-Bois Edité par Ernest Weissenthaner,
neuvième édition, bon état (good condition)
TRAITE DE FABRICATION DES CONSERVES
1921 plaquette pub brochée in-octavo oblong, dos et couverture grise légèrement tachés, ornée de nombreuses gravures in-texte en noir, 29 pages, 1921 Montreuil-sous-Bois Ernest Weissenthaner Editeur,
neuvième édition - bon état général
Traité de fabrication des conserves.
Montreuil-sous-bois, Etablissements Weissenthanner, s.d. (circa 1910) in-8, 31 pp., illustrations, broché. (abimé)
Quatrième édition
Aperçu des résultats obtenus de la fabrication des sirops et des conserves de raisins, dans le cours des années 1810 et 1811, pour servir de suite au traité publié sur cette matière ; avec une notice historique et chronologique du corps sucrant ; imprimé et publié par ordre du gouvernement
Paris Imprimerie impériale [Méquignon aîné] 1812 in-8 veau havane raciné, dos lisse orné de guirlandes et fleurons dorés, ainsi que d'un caducée central, également doré, pièce de titre cerise, encadrement de dent-de-rat, simple filet et guirlande dorés sur les plats, hachuré doré sur les coupes, tranches jaunes [Rel. de l'époque], petites épidermures sur les plats
2 ff.n.ch., 452 pp.Quérard VI, 603. Poggendorff II, 363. Oberlé, "Fastes", 837. Muratori-Philip, p. 366, n° 187. Edition originale, rare.L'enjeu étant de permettre à la France de ne plus être tributaire du sucre des colonies, Parmentier rapporte les expériences menées dans de nombreux départements, nommément énumérés, pour obtenir, selon les différentes qualités de vigne, du sirop de raisins, en exposant en préambule les opérations préalables à sa confection (le mutisme, la désacidification, la clarification du moût et la cuisson). Ainsi, il ne fait pas de doute que "la fortune des sirops est faite [car] ils seront longtemps le sucre des hôpitaux, le sucre des ménages, quand bien même celui de cannes reviendrait au taux ou il était avant la Révolution ou que le sucre de betteraves y pourvoirait".Après sa campagne pour la propagation de la pomme de terre, Parmentier (1737-1813) relevait ainsi un nouveau défi
