Broché sous couverture illustrée Paris Buchet/Chastel 1967 1 volume in-8°
Reference : 5389
édition originale
Librairie Seigneur
Martine Seigneur
Conforme aux usages de la profession.
( Cartonnages NRF - Gallimard - René Ben Sussan ) - Valéry Larbaud.
Reference : 22987
(1913)
Editions Gallimard / NRF 1940. Fort in-12 cartonnage éditeur pleine toile bordeaux, de 360 pages au format 18,5 x 3,5 x 12 cm. Couverture avec monograme NRF. Dos rond avec titre et décor de lignes dorés. Complet de la jaquette avec titre en rouge. Cette dernière présente un dos insolé avec de minuscules manques en haut. Plats et intérieur frais, malgré de petits traces de scotch aux pages de gardes. Un des 32 titres " incunables " reliés d'après la maquette de René Ben Sussan. Nouvelle édition tirée uniquement à 320 exemplaires numérotés sur Héliona ( n° 292 ), alfax imprimée le 16 septembre 1940 par F. Chantenay, imprimeur. Très bel état général. Rarissime édition qui contient : A.O.Barnabototh. Ses Poésies. Son journal intime. Le Pauvre chemisier.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Fasquelle.1926.2 vols.br.282 et 198 p.non coupées.Etat correct.Couv.fanées
La Table Ronde.1998.In-8,couv.souple bleue avec photo.309 p.TBE.
Paris. Schiffrin. 1927. In-12. Br. Couv. rempliée. 333 p. Ex. N°2386 sur Vélin du Marais. TBE.
Genève, Georg & Co, 1908, fort pt in-8°, lxxvi-247 et 335 pp, 10e édition, les 2 tomes reliés ensemble en un volume demi-chagrin chocolat, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), un mors frotté, trace de mouillure ancienne au 1er plat, coupes frottées, intérieur propre et sans rousseurs, bon état
Le 11 mai 1881, Henri-Frédéric Amiel – âgé de 59 ans et 8 mois – meurt à Genève en laissant un Journal intime de 16.867 pages. Ce Journal, il l'a légué à une de ses confidentes et admiratrices, Fanny Mercier, en lui recommandant d'en tirer de quoi donner une idée de sa pensée. Deux ans plus tard, des “Fragments d'un Journal intime” paraissent à Genève et Paris, par les soins de Fanny Mercier et d'Edmond Schérer, sous la forme de deux petits volumes. Le Journal intime nous donne une idée du drame de cet homme qui a passé sa vie à scruter sa conscience, qui s'est analysé chaque jour avec une lucidité extraordinaire, et cela sans discontinuer pendant trente-trois ans. (Bernard Gagnebin) — Henri-Frédéric Amiel eut de bonne heure l'habitude de noter ses impressions et ses observations, de converser avec lui-même la plume à la main ; c'est ce dont témoignent un certains nombres de pages éparses, écrites pendant ses années d'études et de voyages, et qui forment un premier essai de Journal Intime. Interrompu à plusieurs reprises, ce Journal devient régulier en 1849, au moment où Amiel rentre à Genève après un séjour en Allemagne, et dès lors il se poursuit, semaine après semaine, puis jour après jour, jusqu'à la fin d'avril 1881, une semaine seulement avant la mort de l'auteur. Ce manuscrit, qui embrasse ainsi plus de trente années, servait à plusieurs fins. Amiel y consignait les souvenir des occupations et des incidents de la journée. Il y notait ses observations psychologiques et les impressions qu'il recevait de ses lectures. Mais son Journal était surtout le confident de ses méditations intimes, l'asile où le penseur prenait conscience de sa vie intérieure, interrogeait sa destinée, laissait échapper le cri de ses peines, cherchait l'apaisement dans l'examen et la confession.