Édition originale; 6 tomes reliés en 5 volumes. Sans l'index général. Pleine basane racinée, dos longs ornés, pièces de titre, tranches dorées, dentelle intérieure.Reliure de l'époque de Courteval. Très bon Paris Migneret 1801 5 volumes in-8°.
Reference : 2250
Librairie Seigneur
Martine Seigneur
Conforme aux usages de la profession.
Paris, Migneret, 1804-1807. 2320 g 6 volumes in-8, cartonnage vieux rose, xxiv-423 pp.; [2] ff., 424 pp.; [2] ff., 400 pp.; [2] ff., 334 pp.; [2] ff., 304 pp.; [2] ff., 218 pp., [1] f. d'errata, 4 pp. du catalogue de Migneret.. Seconde édition des quatre premiers volumes et édition originale des deux derniers qui continuent la correspondance jusqu'en 1791. Le dernier volume est constitué pour moitié par une longue table alphabétique. Dans cette correspondance Laharpe juge la plupart des écrivains de son temps avec beaucoup de rigueur, ce qui lui créa de nombreuses animosités mais ne l'empêcha pas de publier cette seconde édition avec ses deux volumes complémentaires. Le grand duc cité dans le titre est le future empereur Paul Ier de Russie. Quérard, IV, 435. Tache rousse dans la marge intérieure des deux derniers feuillets du premier volume, quelques usures. . (Catégories : Littérature, Russie, )
Paris, Migneret, 1804-1807. Six tomes en 5 volumes in-8 (196 x 122 mm), XXIV pp., 423 pp.; 2 ff. n. ch., 424 pp.; 2 ff. n. ch., 400 pp.; 2 ff. n. ch., 334 pp.; 2 ff. n. ch., 404 pp. et 6 cartons montés avant le dernier feuillet; 2 ff. n. ch., 218 pp., 1 f. n. ch., 4 pp. Demi-basane basane blonde, dos lisse orné de fleurons et faux-nerfs dorés, pièces de titre et de tomaison vert foncé, dos légèrement éclaircis, quelques petites rousseurs (reliure de l’époque).
Édition originale des deux derniers volumes et seconde édition des quatre premiers, qui avaient paru pour la première fois en 1801. Cette correspondance littéraire adressée au futur empereur de Russie Paul Ier fit couler beaucoup d’encre lors de sa publication et valut à son auteur une animosité durable dans le monde des lettres. «C’est un journal dans lequel Laharpe juge presque tous les écrivains avec la dernière rigueur. […] Il s’exposa à des représailles de la part de ceux qui existaient, en livrant au public une correspondance qui ne lui était pas destinée. S’il eut l’imprudence de mettre au jour, en 1801, les quatre premiers tomes, il n’eut pas la maladresse d’y joindre les deux suivants, qui le compromettent d’une manière plus triste encore. Il faut en accuser l’éditeur qui les publia en 1807» (Michaud). Ex-libris de M. Hurault de Vibraye, avec la mention «comte de Suzenet» ajoutée à la main. Bon exemplaire en reliure uniforme de l’époque. Quérard, La France littéraire, IV, p. 435.
A Paris, chez Migneret, 1801-1807. 6 tomes en 5 vol. in-8, demi-basane brune, dos lisse orné de filets dorés, pièces de titre en veau rouge (reliure de l'époque).
Édition originale de cette correspondance littéraire. A la manière de Grimm et Diderot, Laharpe publiait une correspondance qui circulait sous forme de nouvelles à la main.« C'est un journal dans lequel Laharpe juge presque tous les écrivains avec beaucoup de rigueur. En livrant au public cette correspondance, il s'exposa à des représailles de la part de ceux qui existaient encore. S'il eut l'imprudence de mettre au jour en 1801 les quatre premiers tomes, il n'eut pas la maladresse d'y joindre les deux suivants. Il faut en accuser l'éditeur qui les publia en 1807 » (Michaud).Bon exemplaire malgré de menus défauts. Cerne clair sur deux feuillets.
Paris, Migneret, Dupont, 1801-1807 6 tomes en 5 vol. in-8, index général et catalogue de libraire à la fin du T. VI, basane fauve marbrée, dos lisses alternativement fleuronnés et ornés de semis de croisillons dorés, tranches citron mouchetées de rouge (reliure de l'époque). Petits manques de cuir sur certains plats, léger disparate dans les fers du dos du vol. V, mais bon exemplaire.
Édition originale des deux parties dont se compose cette correspondance, et qui furent publiées successivement (la seconde à titre posthume). L'ouvrage, l'un des derniers que donna le célèbre auteur du "Cours de littérature", mort en 1803, lui valut une animosité exceptionnelle dans le petit monde des auteurs, en raison de la netteté et de la franchise des jugements exprimés, ainsi que des anecdotes transcrites, et qui embarrrassaient bien des gloires encore en activité. Aussi, jusque dans les années 1830, la plupart des auteurs qui écrivirent sur cette série en donnèrent une image nettement défavorable. Pour la postérité, bien sûr, même exagérées, ces critiques sont précieuses et révèlent bien des à-côtés du Landerneau littéraire de la fin du XVIIIe siècle. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT