Estampe très rare non décrite à l'IFF. Saint Jean sur la droite accompagné de l'Ange découvre la Jérusalem céleste en contre-bas. Sans légende. Monogrammes de Jean Leclerc et NP (Nicolas Prévost, Poussin ?). La même estampe a été signalée comme gravée par Aliprando Caprioli d'après Martin de Vos. On en retrouve la copie dans un vitrail de l'église de Saint-Martin-es-vignes daté 1606. En feuille Très bon Paris Jean Le Clerc XVIè 18,5 x 33,5 cm
Reference : 14277
édition originale
Librairie Seigneur
Martine Seigneur
Conforme aux usages de la profession.
Dervy Dervy, 1992, 294 p., broché, environ 24x16 cm. Coins des plats un peu cornés, haut et bas du dos légèrement frottés, page de garde en partie détachée. Bon état pour le reste.
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François de Villac. 1982. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 74 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 130-Phénomènes paranormaux. Pseudo-sciences
Sommaire : L'embrasement ou le secret de la Jérusalem céleste par Philippe Roi, Celle qui voit les morts, film hongrois de Domokos Moldovan par Serge Hutin, Le saint Suaire : la vérité progresse par P. Ronzetti, Les secrets de la réussite et de l'épanouissement par Jacques Sordes Classification Dewey : 130-Phénomènes paranormaux. Pseudo-sciences
Pierre Téqui. 1982. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages. Illustré de nombreuses photos en couleur et en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 263.041-Pèlerinage
Sommaire: Comme les étoiles de la Voie lactée. La légende de Santiago. Le chemin, de l'unité européenne. Les confréries de Saint-Jacques. La quête de la Jérusalem céleste... Classification Dewey : 263.041-Pèlerinage
Maisonneuve & Larose, Paris, 1996. Fort In-4°, 619 pp. Quelques illustrations en noir et blanc.
Livre en très bon état, intérieur frais et complet. Une déchirure au niveau du dos mais rien de tres grave. Un excellent exemplaire pour la documentation
A Stockholm et se vend à Strasbourg, chez J. G. Treuttel, 1788. In-8 de LXXI-(1)-396 pp., basane havane marbrée, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges (reliure de l'époque).
Édition originale établie par Dailland de la Touche. Emanuel Swedenborg (1688-1772) se fit d’abord un nom comme un des plus grands ingénieurs et naturalistes suédois de son temps. Pris de vertiges et de visions à partir de 1736, afrmant être en communication avec les esprits et les anges, il nit par abandonner sa carrière scientique en 1747 pour se consacrer exclusivement à la mission qu’il s’assigna de révéler le sens spirituel de la Création où seul compte l’Amour divin, de faire connaître le monde céleste, et de proposer une évolution rationnelle de l’humanité vers l’état de pur esprit. Habile à diffuser ses idées à travers ses publications, il acquit bientôt une célébrité européenne. Sa condamnation comme hérétique en 1769 n’empêcha pas la création d’une véritable « église » autour de ses idées, ni même, plus largement, une inuence sur les premiers mouvements romantiques. Caillet, 10490 : « Sinon le plus complet, du moins le plus facile des exposés de la doctrine de Swedenborg. Cet ouvrage, publié à Stockholm d'après le titre qu'il porte, me semble réellement paru à Strasbourg, si j'en juge par tout l'aspect typographique (Matter, p. 173) ».Bel exemplaire.Provenance : Stanislas-Xavier comte de Girardin ; né à Lunéville en 1762 et mort à Paris en 1827, il eut comme parrain le roi Stanislas et comme précepteur Jean-Jacques Rousseau. Élu député à l’Assemblée législative de l’Oise le 1er septembre 1791, il dut se cacher après le 10 août 1792. Découvert, il fut emprisonné jusqu’au 9 Thermidor. Après sa libération, il se lia avec Joseph Bonaparte qui venait d’acheter le château de Mortefontaine et il entra dans le cercle des Bonaparte. Nommé membre du Tribunat, il fut réintégré dans l’armée et partit, avec le grade de colonel, avec Joseph Bonaparte pour Naples et ensuite pour l’Espagne. Il fut premier écuyer du roi Joseph, et son épouse, dame d’honneur de la reine Julie. Rentré en France, il devint membre du Corps législatif en 1809, comte de l’Empire en 1810, préfet de la Seine-Inférieure en 1812, préfet de la Seine-et-Oise en 1815. Représentant aux Cent-Jours, inspecteur des haras, préfet de la Côte-d’Or, député en 1819 et 1824, il siégea jusqu'à sa mort dans l’opposition libérale. Louis-Stanislas avait épousé Jeanne-Victoire-Henriette de Navailles (morte en 1818). Il en eut une fille, Télésie, en premières noces Madame de Belle-Isle, en secondes noces comtesse de Ludre.