Jean LARONZE.1852 - 1937. Peintre paysagiste et écrivain d’art. Le peintre du Charollais. Ensemble de 3 cartes postales autographes signées représentant ses œuvres adressées à l'écrivain Abel Moreau. 1926, 1934, 1935. en feuilles Très bon Neuilly 1926, 1934, 1935
Reference : 12102
édition originale
Librairie Seigneur
Martine Seigneur
Conforme aux usages de la profession.
6 vol. in-8 br., Le personnage combattant [ Avec deux billets autographes signés de l'auteur ], 1 vol. in-12 br., coll. Le Manteau d'Arlequin, NRF, Gallimard, Paris, 1955 [ Avec : ] Le Sang. Fête théâtrale [ Livre dédicacé par l'auteur, avec invitation à la représentation de la pièce , Théâtre du huitième, Lyon, et avec un billet autographe signé de l'auteur ], exemplaire du service de presse marqué SP, 1 vol. in-8 br., NRF, Gallimard, Paris, 1970, 307 pp. [ Avec : ] Les Prodiges [ Livre dédicacé par l'auteur ], 1 vol. in-12 br., NRF, Gallimard, Paris, 161 pp. [ Avec : ] L'Othello de Shakespeare. Version française pour la scène [ Livre dédicacé par l'auteur ], exemplaire du service de presse marqué SP, 1 vol. in-8 br., NRF, Gallimard, Paris, 1980 [ Avec un second exemplaire : ] L'Othello de Shakespeare. Version française pour la scène [ Livre dédicacé par l'auteur, avec deux cartes postales autographes signées de l'auteur], exemplaire du service de presse marqué SP, 1 vol. in-8 br., NRF, Gallimard, Paris, 1980. [ Avec : ] Théatre : Capitaine Bada - La Nouvelle Mandragore [ Livre dédicacé par l'auteur ], un des 100 exemplaires hors commerce marqué H. C., 1 vol. in-8 br. L'Arche, 1954, 203 pp.
Bel ensemble réunissant 6 ouvrages dédicacés par le dramaturge Jean Vauthier, dont 5 dédicacés (4 à l'écrivain bordelais Michel Suffran et la dernière à un abbé), avec également 3 billets autographes signées et 2 cartes postales autographes signées adressés à Michel Suffran. Prix du lot pour ce bel ensemble de belle provenance.
Marie Frédéric MISTRAL - [1857 - 1943] - Marie Rivière, épouse de Mistral
Reference : 34194
Cartes postales format 9 x 14 cm - 2 portraits de Frédéric Mistral et la sortie de l'église à Maillane - trés bon état - On y joint une carte de visite autographe signée -
Remerciements pour des patisserie, un plum-cake, du chocolat Vinay, des bonbons Mariani, etc... Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Cartes postales format 9 x 14 cm - trés bon état -
1 - Maillane - l'Eglise - avec signature autographe au recto et 2 vers en provençal signés au verso - 2 - Maillane - Maison de Frédéric Mistral : Il a lu dans "Les Fleurs sanglantes" de Madame Juana Richard Lesclide [paru en 1909] "les touchants souvenirs que cette distinguée poètesse a consacré à son amie Andrea Mariani" et il l'en félicite - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
[1907-1922], la plupart avec enveloppes. En anglais.
Armande de Polignac (1876-1962) est la fille de Camille de Polignac et de sa première femme Marie Adolphine Langenberger qui meurt en la mettant au monde. Il se remarie avec Elizabeth Margaret Knight. Le couple a trois enfants dont Mabel l’aînée dite Bob. Armande et ses demi-frère et sœurs passent leur enfance en Angleterre et Armande gardera l’habitude de s’exprimer en anglais avec Mabel. En 1895, elle épouse le comte Alfred de Chabannes La Palice, mélomane et chanteur amateur. Ils auront un unique enfant, Hedwige. Le correspondance, chaleureuse, montre la profonde affection qui unissait les deux femmes depuis leur enfance. Armande de Polignac avait conservé des lettres que lui avait envoyées sa petite sœur et qu’elle lui expédie. Elle donne des nouvelles des uns et des autres, organise le séjour de sa sœur de et son époux à son domicile parisien. On devine les activités de Mabel (docteure en médecine elle faisait des recherches) et de son époux (bailli, ministre plénipotentiaire de l’Ordre souverain de Malte). Mais une grande partie de la correspondance a trait à la carrière musicale d’Armande de Polignac (compositrice, chef d’orchestre), notamment lors des représentations de son opéra La Petite Sirène qu’elle dirigea à l’opéra de Nice en 1907. On voit aussi combien le couple Pierredon était attentif à la carrière d’Armande ce Polignac. - S.d. [Janvier 1907] : There is an artist here [Nice] who is going to sing some of my songs with the orchestra at the concerts. But my songs are in Paris (the scored ones) so could you send them ? Only they will be difficult to find. This is where they are : In my little studio next to my room there is a sort of white buffet in which all my m.s. music is classed. […] you will try to find Chanson also the full score and all the parts but for the latter you may have to look in different covers as it may possibly be in with some other pieces. […] If, in all that rummaging you see my yellow printed Violin Sonata send it too […] The concerts are very good here and it is a great thing for me to be played there”. - S.d. [Janvier 1907] : “I am having triomphs here and after all my difficulties and sadness I think the reward is coming at last. There is quite a boom on me. I am going to conduct the 3 first representations and a great festival concert is to be given with only my works for 4000 people. […] I am hard at work orchestrating more songs here. I lead such a life”. - 26 décembre 1907 : “I was to go down to Bonnelles today to the d’Uzès for some days but had to give up the plan as a critic has arranged a meeting for me with Sechiari the chef d’orchestre. I have has 2 concerts later with much success, one here at the club + the other at the Capucines. Another is coming off on the 15th of January.” - 6 février 1909 : “The Chatelet matinée went off beautifuly, but I am worn out and Alfred needs air after his phlébite so we are going off to Lausanne for 10 days.” - [août ? 1910] : “Not comet ! Poor Marchand ! He must have been mad, I am afraid. That is what every ones says. Or at any rate he must have gone mad now. I have heard nothing of him since. Of course he will not date show himself before no ever again. It is rather piteous. I have been working a good deal but resting well too.” - 1er juillet 1912 : “Your dear letter came this morning. Your matinée must have been very “chic” from what we saw in the Figaro. Thanks awfully for having given my music, darling Bob. The programme was very well composed and altogether your matinées seem to be very successful.” - 5 août 1921 : “I bathed one in the lake here, during the great heat but prefer sea-bathing. The mountain air I delicious. I go over to Switzerland now and then were I have musical friends and my editor. There is a lady here, a rather well-known painter who I doing a very amusing cubist portrait of me for the “Salon d’Automne”. I work a little and writes articles for a magazine called “Gazette de Paris” in which I am collaborator now. Have also written a splendid “Prélude et tango” (!) which I hope you will hear this autumn. Will you spend the winter in Paris, I wonder ?” - s.d. : “I have had a wonderful press + all for nothing except the Figaro. All the other papers said they would speak of me on condition I should not pay them or pay any other papers. So it would be dreadful if they thought I paid the Figaro. We were much upset when we heard Thierry had given some money as that was quite out of the question. In the beginning Heftler had persuaded us to give something for the annonces but of course pocketed it himself and that what we wanted to find out. I have had quite enough articles. The next representation is on Thursday.” Joint - Alfred de Chabannes La Palice. 2 lettres autographes signées. - [Alfred de Chabannes La Palice] – Manuscrit autographe signé « Le Prophète », s.d. [début 1907]. 4 pp. in-4. Compte-rendu (inédite) des représentations de La Petite Sirène à l’opéra de Nice.. - Affichette in-8. Théâtre des Arts (Théâtre des Batignolles), Mercredi 11 mars 1908. Audition d’Œuvres d’Armande de Polignac et Charles Kœchlin. Sous la direction de M.D.E. Ingelbrecht.
VEDRES (Nicole) cinéaste et femme de lettres française (1911-1965)
Reference : 186C30
On joint une carte de visite autographe signée, ainsi qu’une lettre autographe signée de sa mère, Ludmila Savitzky, traductrice, notamment pour des œuvres de James Joyce (Dedadus) et Virginia Woolf (1881-1957) et quelques coupures de presse. Elle fut une figure marquante du Saint-Germain-des-Prés d’après guerre. Charmante correspondance amicale qui reflète une véritable amitié entre les deux femmes. Evocations de souvenirs, de vacances et de travail. « Je lis et tape et retape pour Marcel et ça occupe les jours et même la nuit parfois ». Elle évoque également ses difficultés avec Gallimard, « qui sont de plus en plus calamiteux, je ne sais quand on aura une petite trêve… » etc. La lettre de Ludmila Savitzky, (6 décembre 1948), également à Marcelle Sibon, est une lettre de félicitations concernant une récompense pour ses traductions.
L’ensemble